Le microenvironnement de la restauration est aujourd’hui soumis à deux grandes évolutions : l’impératif de la pérennité au sortir d’une crise sans précédent, et les exigences pluridimensionnelles d’un convive socialement responsable. Le développement du fast-food, du snacking « on-the-go », du fooding, de la bistronomie, le renouveau de la gastronomie et le revival des brasseries ont répondu à des évolutions diverses des attentes : Plus vite, plus original, plus expérientiel. Dans cette équation, les produits « prêts à » ont un rôle à jouer.
Les produits service : Une réponse à la multi- restauration
Parce qu’ils ont navigué à vue pendant près de deux ans, les restaurateurs ont dû revoir la chaîne de valeur de leur activité pour assurer la pérennité de leur établissement. Ils peuvent agir sur la productivité en adaptant leur organisation , en modifiant leurs horaires, en repensant leur carte avec des produits leur assurant une constance de régularité face à des pics d’activité plus imprévisibles que jamais. D’autres débouchés que la seule salle, avec le clik & collect, la livraison à domicile voire là aussi en décalant les horaires sont autant de sources de chiffres d’affaires additionnels.
Reste un élément fondamental de l’équation : Le pouvoir d’achat dont on peut légitimement craindre qu’il soit durement touché par la crise. Il est ainsi hautement probable que le budget « sorties » soit très surveillé dans les mois à venir. Le prix de vente est difficilement actionnable dans un contexte de crise. Selon un sondage Odoxa pour « France Bleu », 75 % des Français estiment que leur pouvoir d’achat diminue. Cette thématique s’impose d’ailleurs dans la campagne présidentielle de 2022.
En conséquence, s’il est probable que nous sortions moins, il l’est tout autant que chaque sortie soit une petite occasion de se lâcher. Il semble ainsi dangereux ici comme ailleurs de tenter de compenser des difficultés de marge par une hausse des tarifs.
La notion de « raison d’être », de « valeur » sera plus déterminante que jamais. D’autant que les aspirations à connotation sociétale (local, bio, traçabilité…) déjà élevées avant ont été amplifiées par le confinement. Les sorties seront plus rares, elles doivent être valorisantes.
Rationaliser l’amont du plat servi face aux exigences pluridimensionnelles du convive
L’équation est simple. Comment rationaliser l’amont du plat servi (approvisionnement et préparation) tout en répondant favorablement aux exigences pluridimensionnelles du Consom’acteur ?
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- Une exigence de qualité. La consommation bio (ménages + Restauration Hors Domicile) a doublé en cinq ans, et quasiment quadruplé en une décennie (chiffres de l’Agence Bio, 2021). L’appétence pour le Made in France s’inscrit également dans cette dynamique. En effet, les consommateurs semblent disposés à supporter un surcoût de 37 % pour des produits alimentaires fabriqués en France (source). L’entrée en vigueur de la loi EGalim dans la restauration collective devrait continuer à « banaliser » la recherche de labels et de signes de qualité en restauration commerciale.
- Une exigence sociétale. Le convive/consommateur ajoute à la liste de ses critères de choix alimentaires les notions de bien-être animal, juste rémunération des agriculteurs, circuits courts, empreinte carbone, etc. Cette recherche de l’assiette vertueuse a été mise en lumière par l’étude OpinionWay pour d’aucy.
- Une exigence de compétitivité : temps de préparation raisonnable, prix compétitif, qualité du service, goût, etc.
Dans cette configuration complexe, où la définition de la qualité dépasse les critères sanitaires et organoleptiques, les produits prêts à cuisiner, à agrémenter ou à servir cochent toutes les bonnes cases.
Les « produits prêts à » : des alliés décisifs
Pensés pour faciliter le travail du chef et du restaurateur, les « produits prêts à » apportent une réponse pertinente aux exigences du convive mais aussi aux contraintes économiques liées à la période (équipes réduites notamment, que ce soit par manque de moyens ou par difficulté à recruter dans un marché sous tension).
Il faut dire que les produits prêts à cuisiner, à agrémenter et à servir ont des atouts intéressants à faire valoir, pour peu que le choix du fournisseur soit pertinent :
- La garantie d’une qualité égale au fil du temps ;
- Le respect des normes sanitaires ;
- La traçabilité garantie des aliments ;
- La facilité de mise en œuvre avec un gain de temps (et donc une baisse du coût de revient) ;
- Le respect de l’environnement et du bien-être animal ;
- Des propriétés organoleptiques préservées.
Les produits « prêts à » de Cocotine : prendre soin de vous et de vos convives
Pour vous, professionnels de la restauration, les produits d’œufs Cocotine sont prêts à cuisiner, à agrémenter ou à servir. Leur préparation et leur conditionnement ont été optimisés pour une mise en œuvre simple et rapide.
Pour vos convives, les produits « prêts à » sont l’assurance de plats sains, savoureux mais aussi en phase avec leurs convictions éthiques et sociétales car issus d’un élevage raisonné, respectueux de l’environnement et porté par des éleveurs coopérateurs engagés pour la qualité, sans intermédiaire.
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